Madiba mérite encore et toujours qu’on lui accorde cette nième analyse parce qu’il s’est démarqué des leaders africains actuels, cette cohorte structurée, marquée par des intérêts communs, dont les membres partagent la conscience forte et l’entière responsabilité de la gestion catastrophique des Cités africaines des indépendances à nos jours.
Les sommes d’argent quittent illégalement le Continent africain chaque année grâce, entre autres, à l’évasion fiscale, la mauvaise facturation et le trafic entre les pays. Les estimations varient en fonction des sources et des méthodes de calcul (Banque Mondiale, Global Financial Integrity qui est un institut de recherche sur la criminalité, ou les travaux de recherche de Ndikumana et Boyce en 2011 cités dans les articles ci-dessous). Mais de manière générale et selon certains experts, l’Afrique a connu une hémorragie totale de l’ordre de 854 milliards à 1800 milliards de dollars américains sur la période 1970-2008.
À travers sa démarche et son courage, Charles Ateba Eyene a pu mettre en évidence l’existence d’un réel fossé générationnel dans notre pays entre les moins de quarante-cinq ans et ceux de plus de soixante ans sans oublier au milieu, une sorte de no man’s land. Cette réalité nous oblige à admettre que nous aurons besoin d’un grand travail de soudure intergénérationnelle et que nous allons devoir nous parler franchement afin de recréer ensemble un espace commun où il fait bon de vivre ensemble, si l’on ne souhaite pas que le tissu social se fissure davantage avec des conséquences désastreuses pour toute une nation qui aspire à la prospérité.
L’Afrique est-elle si bien partie ?
Mais au-delà de ce défi majeur à « effet papillon » sur d’autres enjeux tous aussi importants, l’astuce stratégique pour l’Afrique, en remplacement d’une quelconque réflexion prospective, se situe sur l’amélioration de manquements actuels, divers et variés, notamment le leadership, la dissuasion militaire, l’intégration et de coopération régionales, l’engagement de la diaspora et les véritables systèmes démocratiques adaptés au contexte africain.
Les marchés publics ont une importance économique considérable et représentent une part significative du PIB national dans tous les pays africains. À cet égard, les principes de transparence et de concurrence équitable et efficace gardent toute leur pertinence.
L’objectif de cet article est d’apporter des éléments de réponse à ces interrogations. Notre point de départ est la faillite bouleversante affichée dans la gestion des contentieux électoraux par toutes les parties prenantes dans chaque élection en Afrique. Nous allons plus loin aborder des domaines aussi variés et complexes comme le non-respect des compromis électoraux, l’exigence d’un nouveau leadership réflexif des « responsables » politiques africains y compris nos institutions sous-régionales et régionales, la problématique de l’informatisation des processus électoraux en Afrique, et le manque d’éducation à la paix en Afrique. Notre analyse rejoint les terrifiantes clairvoyances et prémonitions faites en 2004 par l’intellectuel camerounais le Professeur Joseph Mboui mais aussi les analyses éclairées du Docteur Eric Essousse dans Problématique de l’informatisation des processus électoraux en Afrique.
Cette série d’articles a pour objectifs (1) de proposer l’architecture d’une technopole camerounaise et les mécanismes de sa mise en place ; (2) d’identifier les contraintes organisationnelles et institutionnelles, et culturelles auxquelles s’expose une technopole camerounaise ; et (3) de proposer des solutions afin d’éviter que la future technopole camerounaise ne puisse être considérée comme un simple relais d’importation de biens et services à fort contenu technologique, sans permettre une réelle intégration des nouveaux secteurs de haute technologie au tissu industriel local.
Nul doute que ces pratiques s’assimilent i) aux fraudes et évasions fiscales et ii) aux crimes contre l’humanité. La société civile africaine a le devoir de solliciter les juridictions internationales afin de juger les personnes accusées de ce génocide économique et ces crimes contre l’humanité perpétrés par ces hommes politiques incriminés et leurs complices au pouvoir en Afrique. Elle doit exiger que les auteurs de ces crimes soient punis et que les sommes volées soient rendues.
Information technology sometimes refers to the information systems (IS) organization that combines the technologies, processes, people, and promotion mechanisms to improve the performance and effectiveness of the organization. IT affects nearly all aspects of human endeavor and assists in the management and operations of various types of organizations.
The purpose of this post is to compare and contrast three team-oriented software development process models: Unified Modeling Language (UML), Extreme Programming (XP), and Rational Unified Process (RUP)) regarding their impacts on group software development.